Le «Tanne Schaffhausen» est un établissement traditionnel dans la vieille ville de Schaffhouse. Depuis 2019, Claudine-Sachi Münger dirige le restaurant avec beaucoup de cœur en tant qu’entreprise inclusive. Elle raconte pourquoi elle mise sur la collaboration avec Pistor durant un entretien sur place.
Le «Tanne Schaffhausen» et Pistor travaillent main dans la main depuis des années.
Le «Tanne» est une entreprise inclusive orientée vers l’entrepreneuriat.
La directrice Claudine-Sachi Münger s’est penchée de manière approfondie sur le modèle de conditions de Pistor. Elle profite de ce fait au maximum avec le «Tanne».
Elle apprécie le fait que le travail administratif soit réduit au minimum et qu’elle puisse se fier à 100 % sur la livraison.
Nous avons besoin de votre accord
Ce contenu est hébergé par un tiers (youtube.com). Pour afficher ce contenu, veuillez accepter les cookies et la déclaration de confidentialité.
A grandi avec Pistor
Claudine-Sachi Münger a grandi dans le canton de Soleure en tant que fille de boulanger. A l’âge de six ans, elle rangeait déjà les marchandises de Pistor dans les rayons. Depuis quelques années, elle poursuit maintenant sa vision d’un lieu de rencontre inclusif avec le «Tanne». L’exemple du «Tanne» montre comment une plus petite entreprise peut également tirer profit au maximum du modèle de conditions de Pistor.
Tanne Schaffhausen
8200 Schaffhouse
Direction: Claudine-Sachi Münger
Collaborateurs: 19, dont 15 ayant un handicap et un enseignant
Offre: restaurant de 35 places, 9 studios à louer à long terme et le magasin «Tannelade», où sont vendus des produits alimentaires et des choses créatives de 40 petits fournisseurs.
Distinctions: «Prix de l’innovation IVS» décerné par les banques de la place de Schaffhouse pour un «modèle commercial d’avenir, à la fois éthique et créateur de ressources», «Social Innovation Award» du Female Innovation Forum 2022.
Se concentrer sur les tâches de base
Le «Tanne» se trouve au cœur de la vieille ville de Schaffhouse, il est classé monument historique et n’est donc pas entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite. Des diplômes des années 1920 sont accrochés aux murs de l’auberge rustique. Le vin servi était déjà à l’époque, semble-t-il, de la plus haute qualité. Mais ce qui est plus intéressant, c’est le certificat pour le «Social Innovation Award» que Claudine-Sachi a reçu en 2022 pour son «projet innovant, orienté vers l’avenir et exceptionnel sur le plan de l’entrepreneuriat social.» Claudine explique le concept: «Nous sommes une entreprise à responsabilité limitée qui emploie 15 personnes ayant un handicap.
Nous sommes donc une entreprise inclusive orientée vers l’entrepreneuriat, qui travaille selon des principes économiques. Les 15 collaborateurs avec un handicap sont embauchés via un contrat de prêt de ‹mitschaffe.ch›, une agence de recrutement pour les personnes avec un handicap. L’avantage est que je n’ai pas à m’occuper des tâches administratives du personnel et que je peux ainsi me consacrer au travail et à l’habilitation des collaborateurs. L’externalisation délibérée des tâches administratives me permet de me concentrer sur mon activité de base. C’est aussi la raison pour laquelle j’aime tellement travailler avec Pistor.»
Du soutien, là où on le souhaite
«Les collaborateurs de Pistor sont toujours là quand j’ai des questions. Je ne trouverais pas ça cool si quelqu’un m’appelait toutes les semaines», raconte la directrice de l’entreprise et ajoute: «Les bulletins de livraison sont corrects, il ne manque jamais rien. Je n’ai en effet pas le temps pour aller faire des courses d’urgence ailleurs.» Le «Tanne» est certifié comme «hôte du parc naturel». Cela signifie que 80 % des matières premières doivent être achetées localement. Par conséquent, Claudine-Sachi achète le pain, les légumes, le fromage et la viande chez des fournisseurs dans un rayon de dix kilomètres. «C’est pourquoi c’est si pratique pour moi d’avoir un partenaire fiable pour tout le reste. Et si une fois nous voulons tester quelque chose, je peux facilement commander les produits chez Pistor. Comme récemment pour une offre de saison: des ramens.»
Les collaborateurs de Pistor sont toujours là quand j’ai des questions.
Claudine-Sachi Münger
Directrice du Tanne Schaffhausen
Les bulletins de livraison sont corrects, il ne manque jamais rien.
Claudine-Sachi Münger
Directrice du Tanne Schaffhausen
Une planification soigneuse récompensée
Pistor livre le «Tanne» au maximum une fois par semaine. Cette fréquence peu élevée a un effet positif sur les conditions. La fenêtre de livraison la plus vaste possible y contribue également et Claudine-Sachi commande tout numériquement en temps voulu. «A propos de la livraison, je dois dire que c’est tout bonnement fantastique! Le chauffeur a une clé. La plupart du temps, il vient quand personne d’entre nous n’est là. Je peux lui faire entièrement confiance, je sais que tout fonctionnera. Comme aujourd’hui avec Peter.» La plupart du temps, c’est lui qui livre le «Tanne». Pour lui, la livraison n’est pas de tout repos. Il gare le camion sur une grande place à environ cent mètres du restaurant. Là, il charge les marchandises sur le diable et les pousse à travers les ruelles jusqu’à l’arrière-cour du «Tanne», où se trouve le local de stockage.
Une offre délibérément petite
Le «Tanne» montre qu’il vaut la peine de bien étudier le modèle de conditions de Pistor. «Une bonne planification aide à tous les niveaux», Claudine en est convaincue. «Grâce à la conception délibérée de notre offre, il est possible de travailler de manière inclusive et de plus, nous avons zéro gaspillage alimentaire. Avec deux menus hebdomadaires à midi et notre choix de tartes flambées le soir, nous limitons délibérément l’offre, s’il reste quelque chose, nous pouvons le transformer en interne en équipe. Avant la pandémie, nous servions un menu qui changeait tous les jours, ce qui générait beaucoup plus de gaspillage alimentaire.»
En tant que directrice de l’établissement et restauratrice, il est clair pour Claudine-Sachi Münger qu’elle souhaite continuer à miser sur ce qui est, à ses yeux, le service parfait de Rothenburg.
Photos: Hoger Jacob